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Se déplacer au sein de la Mind's Planet

La Mind's Planet utilise l'analogie avec une carte simplement car cela rend les états mentaux plus visibles. Comme toute mappe, elle permet de se géolocaliser, de visualiser la destination souhaitée et enfin, de se déplacer efficacement ! 

Je vous invite à tester simplement et rapidement sur vous-même à l'aide de ce petit document à remplir seul. Pour ceux qui souhaitent en savoir plus, vous trouverez ci-dessous quelques explications détaillées de cet outil conçu pour rediriger son mental. 

Les Déplacements 
Fonctionnels

Détaillons maintenant le mécanisme :​

1. La géolocalisation

Pour se déplacer efficacement au sein de notre Mind's Planet, donc modifier son état mental présent, il faut premièrement situer notre point de départ, c'est la géolocalisation. Cela peut se faire seul, en s'informant, en se reconnaissant à travers les mots. C'est pour cela que j'ai décris notre monde intérieur de différentes manières et selon différents angles de vues. Cette étape peut demander un accompagnement ou un regard extérieur au début, avec l'expérience et la connaissance, la géolocalisation de soi et des autres devient une évidence.

2. L'orientation

Secondairement, il s'agit de savoir où nous voulons aller, comment nous voulons être, ce que nous aimerions pouvoir faire ou à l'inverse, ne plus faire, ici est maintenant. Cette étape correspond à la définition d'objectifs. Cela n'ont pas besoin d'être précis, en cas de dysfonction (localisation prolongée ou inadaptée en zone périphérique) l'objectif sera simplement un recentrage ou un mouvement latéral. On entend souvent les thérapeutes et éducateurs dirent ''recentre-toi !'' sans pour autant savoir quelle action est attendue de notre part. Entendez "retrouve une position mentale adaptée" et trouver très facilement comment, en lisant simplement la carte de votre monde mental. 

Pour orienter notre déplacement afin qu'il soit fonctionnel, je vous propose trois types d'objectifs différents (et compatibles les uns avec les autres) :

Objectif direct :

viser la zone centrale contigüe à notre zone périphérique.

Direct
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L'objectif direct est un objectif facilement atteignable si nous sommes en frontière de zone et que nous maitrisons suffisamment notre mindset pour simplement :

 

1/ Réadapter nos attentes, nos plans, nos priorisations, nos responsabilités

(dysfonction mentale = aide par l'émotionnel) ou

2/ Manager nos émotions, nos sensations, nos intuitions, nos ressources et nos besoins

(dysfonction émotionnelle = aide par le mental) ou

3/ Donner du sens, de l'intérêt et de l'efficacité à nos réflexions, pensées, émotions, sensations physiques (dysfonction réaliste = aide par le positif) ou

4/ Retrouver notre authenticité, accepter notre vulnérabilité et notre réalité

(dysfonction positive = aide par le réalisme).

Cependant si nous ne maitrisons pas du tout notre mindset, ces objectifs sont inadapté et inatteignable, la zone centrale était la zone que nous visions ou dont nous provenions avant de nous déséquilibrer et d'aller dans la dysfonction périphérique correspondante !

1/ Je voulais relever des défis, faire, réussir, construire, mais je n'ai pas su adapter mes attentes, mes plans, mes priorisations, mes responsabilités et j'ai atterris en zone de surpression (dysfonction mentale = défaillance de l'émotionnel) ou

2/ Je voulais créer, prendre du plaisir, vibrer, être, exister, mais je n'ai pas su manager mes émotions, mes sensations, mes intuitions, mes ressources et mes besoins et j'ai atterris en zone de répression (dysfonction émotionnelle = défaillance du mental) ou

3/ Je voulais prendre le temps de me reposer, de faire un point, réfléchir à mes buts, mes envies, à ma personne et à mon environnement, mais je n'ai pas su donner du sens, de l'intérêt et de l'efficacité à mes réflexions, à mes pensées, à mes émotions et à mes sensations physiques (dysfonction réaliste = défaillance de positif) ou

4/ Je voulais être heureux, être quelqu'un de bien, avoir la vie dont je rêve, être la personne que j'ai décidé d'être, profiter de la vie comme il se doit, mais je n'ai pas su trouver mon authenticité, accepter ma vulnérabilité et ma réalité avec honnêteté (dysfonction positive = défaillance de réalisme).

Dans ce cas, définir d'un objectif indirect sera plus judicieux.

Un objectif indirect est donc une direction à viser mais en aucun cas un objectif a atteindre. Il est évident qu'au moment de sa construction nous savons que nous n'atteindrons pas cet objectif, n'arriverons pas sur cette zone de la Mind's Planet (du moins, pas de suite).

Cet objectif à pour but de diriger notre mental, de le guider, mais notre point d'arrivée peut être indéfini, l'important étant de sortir de notre mal être psychique et donc de la zone dysfonctionnelle inadaptée dans laquelle nous sommes.

 

Il existe deux objectifs indirects : l'objectif indirect Switch et l'objectif indirect Pas-de-côté.  

Switch

Objectif Switch :

Viser la zone centrale et fonctionnelle diamétralement opposée 

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Switcher (zapper) signifie changer de mode, comme on change de chaine de télévision. 

Si je suis stressé, débordé, dépassé, épuisé, empreint de peur (peur de ne pas y arriver, de décevoir, de ne pas être à la hauteur, de ne pas être aimé, etc.) je peux viser la maitrise. Il s'agit de diminuer mes objectifs, accepter de faire moins mais de faire mieux. Valoriser la qualité par rapport à la quantité. Faire un sorte de retrouver du plaisir à faire ce que je fais, ne plus subir mes missions. Pour cela, je vais laisser de la place à mes émotions, à mes intuitions et à mes sensations. Ne pas attendre qu'elles m'envahissent et débordent. Leur donner de la valeur, les écouter, les suivre, reconnaitre que c'est le plaisir au défi qui m'a poussé à fixer ces objectifs là au départ, accepter que j'aime le stress, la stimulation, l'action et le risque ! Reconnecté mon plaisir, cette vibration !

Si je suis en colère, que je me sens impuissant, que j'ai l'impression de ne pas avoir la liberté de faire ce que je veux comme je le voudrais, qu'on m'étouffe ou me brime, ou que je me réprime ou me sabote tout seul, je peux viser le défi. Si je ressens cette frustration, ce sentiment d'injustice ou de non-sens, cette énergie qui ne demande qu'a jaillir c'est bien que j'ai une idée, un projet, un rêve. Je sais qui je suis, ce que je veux, ce qui a de la valeur à mes yeux, ce qui fait sens et raisonne dans mon coeur. Et quelque soit l'histoire que je me raconte, c'est en fait mon pouvoir personnel de réalisation que je réprime. Alors je peux prendre ce projet comme un défi, lui dédier du temps, de la place et de l'énergie pour le faire exister, passer à l'action, peut-être en parler, me redéfinir, entamer une première démarche, l'objectif n'a pas besoin d'être haut, le défi ne doit pas être dur, il doit être accessible facilement (en moins d'un mois quasi sans effort). 

Si je suis déprimé, triste, en retrait, que rien ne m'intéresse et que je me sens sans but, que j'ai des idées noires et l'envie simplement d'abandonner, je peux chercher la joie en moi, me reconnecter à la vie. Qui que je sois et où que je sois, je suis vivant. Mon coeur bat, mon souffle est, mon sang circule. Il y a peut être de meilleures personnes et de meilleurs contextes de vie, mais ce que je suis et ce que j'ai peut être suffisant sur l'instant. Redonner de la valeur à son existence, faire preuve de gratitude et de reconnaissance n'est pas si difficile que cela à faire. Il suffit d'observer en nous ou en dehors quelque chose que nous pouvons trouver beau. Envoyer de l'amour, de la compassion ou de la tendresse suffit à en créer en soi. L'altruisme et l'auto-compassion (compassion pour soi-même) son des sources d'énergie inépuisable que nous n'avons parfois pas appris à aller chercher, mais il n'est jamais trop tard !

Enfin, si j'ai l'impression de m'être menti, que ma vie ne me correspond pas ou plus, que je ne sais plus qui je suis, ni pourquoi je fais ce que je fais et ce que je fais avec les gens que j'ai autour de moi, il faut que j'accepte de regarder ce que dont j'ai pu me protéger. C'est avec humilité que je peux laisser de la place à mes défauts, à mes peurs, à mes impuissances et à ma vulnérabilité. C'est avec honnêteté que je peux accepter mes échecs, mes hontes, mes humiliations, mes mauvais traitements et ma culpabilité. C'est le regard objectif et réaliste sur soir et sur son parcours qui apportera l'authenticité et définition sincère de moi-même dont j'ai besoin pour être heureux, satisfait, calme, joyeux et en paix. C'est de l'introspection que nait la compassion, l'amour de soi et la juste confiance en soi.

Parfois, cet objectif un peu frontal peu semblé utopiste, trop haut, trop théorique. dans ce cas, le Pas-de-côté sera peut-être plus approprié.

Objectif Pas-de-côté :

Viser une zone latérale

Pas-de-côté
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Dans le cas où je me noies dans ma tristesse et dans mon isolement, que je n'arrive pas à l'accepter à lui donner du sens, que je peux pas non plus éprouver de compassion pour moi-même ou de la gratitude pour le simple fait d'être en vie, je peux me fixer un défi. Bien évidement, cela va provoquer de la peur. Bien que cette émotion ne soit pas plus agréable que la tristesse, elle aura pour effet de solliciter mon mental, de le réactiver, de le diriger. Sortir de ma zone de léthargie et ma complaisance sera déjà un grand pas, après cela, j'aurai bien moins de mal à éprouver de la satisfaction personnelle ou à apprécier l'introspection et le travail sur moi que je me permet de faire. C'est ce mécanisme qui entre en jeu lorsque je vais mieux grâce à la survenue d'une nouvelle difficulté ou d'une aggravation. La stimulation mentale liée à ce nouveau stress à libérer mon psychisme de son cercle vicieux de ressentiments et émotions passéistes et m'a ainsi permis de m'impliquer et de me sentir à nouveau vivant. Autrement, je peux me lancer dans une passion. Accepter que je n'ai rien à perdre, et que j'ai le choix : abandonner et me laisser mourir ou faire quelque chose me permettant de me sentir vivant. C'est le mécanisme des pensées suicidaires. Redonner du choix permet de redonner de la valeur à la vie, celle-ci, aussi noire qu'elle soit, vaut plus que la mort. La tentative de suicide est une façon de ne pas faire ce choix seul, mais de le confier à l'univers, au hasard, à un sauveur ou à la médecine, c'est une forme de déresponsabilisation mais l'effet recherché est le même : être vraiment mort ou vraiment vivant, pas entre deux. Bien évidemment il n'est pas nécessaire d'aller si loin dans l'autodestruction pour se sentir vivant. S'investir dans quelque chose qui a du sens pour nous, s'impliquer dans une passion, un loisir, laisser libre cours à notre créativité, à nos envies, qu'elles soient égoïstes ou non, productives ou non, peu importe, tant qu'on éprouve du plaisir à les faire. Le seul objectif est le plaisir. Alors bien sûr, on risque de croiser de la colère, de la frustration, de l'injustice ou un sentiment d'impuissance face à la répression de nous-même que nous avions mis et mettons encore en place et face à nos différents mécanismes d'auto-sabotage et d'auto-critique. Mais ces émotions de la famille de la colère seront plus dynamisantes que la tristesse. 

Maintenant, si je suis plein de colère, de frustration, victime de mon sentiment d'impuissance ou d'injustice, et que je n'arrive pas à retrouver du plaisir d'être moi-même, à libérer mon potentiel, ma passion, ma création, et que me fixer un défi pour sortir de ma routine et de mes alternances d'émotions ON/OFF UP/DOWN me semble bien trop inconfortable, me fait peur et me donne envie de fuir, je peux faire plutôt un pas de côté. Pour cela je peux viser l'introspection. Il est évident que pour pouvoir être heureux d'être soi et satisfait de sa vie, il faut savoir qui on est et ce qui à du sens pour nous. Passer de la colère et de l'impuissance à la tristesse permet de trouver une direction plus juste pour orienter nos actions. Bien souvent la procrastination n'est pas une absence de volonté et de discipline mais bien une protection contre un traumatisme ou la conséquence d'un traumatisme passé non résolu. Prendre le temps de faire se travail sur soi enrichi bien plus la personne qu'il n'y parait. Elle rend son mécanisme de défense transparent, évitant ainsi la répétition sans prise de conscience et donc le retour de la colère et de du sentiment d'impuissance. Autrement, il est possible aussi de simuler un état que nous voudrions mais que nous n'avons pas. Cela peut sembler faux et dangereux pour la conscience de soi et pour l'authenticité mais fait volontairement et intelligemment c'est une technique redoutable. S'accorder des moments de paix, d'harmonie, de bien-être, oublier les soucis, la souffrance et le contexte permet de recharger les batteries, faire des choses qui nous détachent, ne serait-ce que temporairement, de notre colère ou de notre impuissance. Ce ne doit pas être de la fuite dans des plaisirs faciles ou dans des addictions (sinon nous ne changeons pas de zone) mais quelque chose de sain et de fidèle à nos idéaux et à nos objectifs personnels. Se faire du bien en jouant à être la meilleure version de nous même n'a rien à voir avec s'amuser sans autre but que le plaisir sur l'instant quitte à s'autodétruire ou à abimer notre image de nous, nos relations, notre santé et tout ce que nous avons de beau en nous. Evidemment le risque est de s'identifier à ce personnage, et se conforter dans le déni. Mais une fois les émotions et pensées stabilisées, l'accès au plaisir et à la satisfaction de soi est plus fluide ! 

Ensuite si j'ai peur, que je suis envahi de doutes, d'anxiété, que mes projets m'obsèdent et que je n'arrive pas à apprécier ce stress, à me satisfaire de chaque étape réalisée, à me rassurer simplement pas une bonne planification, à demander de l'aide ou du soutien, et que trouver du plaisir à réaliser les défis qui se présentent à moi et à m'amuser de mes difficultés me semble inconcevable tellement je subis ma situation, il peut être plus facile de chercher des moments éphémères et artificiels de calme, de bien-être ou de sérénité peut-être à l'aide d'activité type yoga, soin, méditation, week-end en famille, ou autre, mettre mon bien-être physique et physique sur le haut de ma liste des priorités. Bien sûr, je risque de simuler ce fameux bien-être car il est évident que même si je passe un moment de bonheur et de paix au milieu d'une journée de stress, de cris et d'agitation, je ne suis pas réellement quelqu'un de profondément calme et serein. "If you can't make it, fake it" (si tu ne peux pas le faire, simule le) résume bien cette stratégie. Ce sera toujours du positif pour équilibrer notre santé mentale, faire comme si c'était acquis, facile et que nous étions confiant rassure, encourage et prépare notre esprit à l'avenir pour lequel on se bat. Il faudrait simplement rester conscient de l'illusion que nous utilisons afin de ne pas nous identifier à notre personnage parfait. Stratégie opposée, nous pouvons aussi accepter ce que nous refusons et nous entraine dans cette zone de panique, survie te surpression : l'échec. Abandonner un pan de notre projet, reculer notre deadline, réduire nos exigences sont autant de solutions permettant de diminuer notre stress, cependant la diminution douce et régulée est difficile, il peut sembler plus simple de stopper tout de manière radicale. Bien évidement ce choix entrainera des regrets, de la déception et de la tristesse, mais il est important de prendre en compte concrètement cette solution là, continuer n'est jamais une obligation, nous pouvons aussi choisir d'abandonner. Généralement, la simple considération de cette issue de secours suffit à choisir notre stress et à le vivre mieux. Dans le cas ou l'arrêt semble être la meilleure décision, il sera important de le faire à l'aide d'un processus cadré de décision : qu'est-ce que j'arrête (je n'ai peut-être pas besoin de tout envoyer balader) comment (il y a souvent des façons de faire moins violente que d'autres) et pourquoi (afin de ne pas avoir de culpabilité après, mettre des mots sur la situation et notre état). Pour cela, un accompagnement peut être nécessaire. Cette phase de réflexion et de remise en question suffit généralement à relancer de nouveaux défis plus respectueux de notre nature profonde et de nos envies, et à laisser de la place au plaisir de vivre qui est indispensable à notre équilibre d'humain !

Pour finir, si je ressens du dégout, de l'aversion, de la répulsion pour les autres, pour mon projet, pour ma vie, pour ma situation ou pour moi même, si j'ai l'impression de ne pas avoir la vie que je veux ou que je mérite, et que je ne peux pas raviver l'amour et la compassion pour les autres et pour moi-même, qu'il me semble inconcevable de me confronter frontalement à tout ce que j'ai passé des années à éviter, à ma vulnérabilité, à mon passé, à mes incompétences, et autres déchets cachés sous le tapis, je peux me focaliser sur un projet qui semble pouvoir réaligner mes envies et ma vie. Retrouver la congruence et l'harmonie entre soi et son personnage permettra d'apaiser les jugements et critiques dévalorisants. Pour cela, il faut que je crée de la place pour ce projet qui devient une priorité. Cela va provoquer du stress et de la peur, car en cas d'échec, je vais me retrouvé confronté à ce que je n'aime pas de moi : l'échec, la déprime, la désorientation, l'absence de sens, l'inutilité, le jugement des autres, leur déception, leurs attentes. Mais si ça marche, j'aurai réussi un pas-de-coté magique, un réalignement superbe, un virage parfaitement positif dans ma vie. Autrement, je peux m'investir dans une passion. Cette action moins constructive entrainera moins de stress, moins d'attentes de la part des autres, et me fera prendre moins de risque. Si je le vends bien, les gens peuvent continuer à m'envier et à m'admirer sans avoir conscience que le moteur de cette priorisation de mes envies est le dégout et le manque d'harmonie intérieure. Ces loisirs vont faire du bien à mon psychisme en m'apportant du plaisir à être moi et permettre de redéfinir ma personne de façon concrète, cependant si je continus de choisir parmi les loisirs ceux qui sont conseillés, choisir ce qui est bien de choisir, ce qui est bon pour moi, pour ma situation ou pour les autres, je me maintiens dans ma zone d'illusion et de jeu de rôle du Parfait. Si je choisis ce qui me fait le plus envie sur l'instant, il est fort probable que mes choix soient décevants, peu constructifs et valorisants, notamment que je décide de rien faire, de procrastiner, de me vautrer dans mes émotions négatives, dans mes passions tristes. Ces émotions de colère et d'impuissance, ces comportements d'auto-sabotage et d'égocentrisme peuvent être sains et permettre petit à petit de trouver une certaine honnêteté, authenticité en bref d'apprendre à s'aimer tel qu'on est.

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En conclusion, une fois que je me suis géolocalisé, je peux me diriger vers une zone plus adaptée. En pratique, il n'est pas rare que nous mettions en place en même temps des objectifs directs, de switchs ou de pas-de-côté sans nous en rendre compte. Le faire en conscience permet de choisir peut-être mieux et d'être prévenu des risques que notre choix entraine. Sortir d'un état psychique difficile, surtout lorsque celui-ci a duré, peut nécessiter un accompagnement. L'objectif est un recentrage, et surtout d'éviter de rester bloqué dans une même zone périphérique, voir d'alterner entre différentes zones dysfonctionnelles.

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